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jeudi 5 décembre 2013

L IMPÉRIALISME AMÉRICAIN PAR LA CULTURE

Comment l’impérialisme américain utilise le multiculturalisme pour déstabiliser les Nations septembre 30, 2013 par Dornach Le projet Rivkin: Charles Rivkin Charles Rivkin Version originale anglaise: partie 1, partie 2, partie 3 Partie 1 sur 3 Traduction tchèque ici Du 19 au 22 Octobre 2010, Charles Rivkin, Ambassadeur Américain en France, invita une délégation de 29 membres du Pacific Council on International Policy (PCIP) à une conférence en France, dont le but principal était de discuter des relations arabes et islamiques avec le pays. [1] La rencontre était un élément d’un programme de déstabilisation plus large pour transformer l’identité entière de la France et en particulier la conscience de la jeunesse française, avec notamment l’utilisation de la jeunesse musulmane dans une stratégie de manipulation typiquement mondialiste, derrière la façade des « droits de l’homme » et « de l’égalité. » La délégation mondialiste à l’Ambassade Américaine Le rapport du CPPI déclare de la conférence : … La délégation s’est davantage concentrée sur trois thèmes clé. Un, le groupe a examiné les problèmes Franco – Musulmans en France à travers des échanges avec le Dr. Bassma Kodmani, Directeur de l’Institut de la Réforme Arabe, et Mme Rachida Dati, la première membre d’un conseil des ministres d’origine Nord-Africaine et actuelle Maire du 7ème Arrondissement de Paris. Une visite à la Grande Mosquée de Paris et une rencontre avec le Directeur de la Théologie et le Recteur ont fourni une perspective supplémentaire. Deux, des rencontres avec Mr. Jean-Noël Poirier, Vice Président des Affaires Extérieures d’AREVA (une compagnie d’énergie très innovante), et avec Brice Lalonde, négociateur du climat et ancien Ministre de l’Environnement, ont mis sur la table les questions de la politique de l’énergie et de la politique nucléaire et les différences entre les approches américaines et françaises dans ces secteurs. Et pour finir, la délégation a exploré les liens entre les médias et la culture en Californie (Hollywood) et la France dans des rencontres au Louvre, au Musée d’Orsay, et à France 24 – la chaîne d’information et actuellement d’informations économiques basée à Paris.[2] La préoccupation essentielle semble avoir été les questions de dimensions multiculturelles, comprenant non seulement les relations arabes et islamiques avec la France, mais peut être le plus important sur le long terme, une discussion sur l’impact de la « culture » hollywoodienne sur la France. Les USA ont aussi joué un jeux de duplicité dans « la Guerre contre le Terrorisme » de nature « Islamique » comme l’un des éléments essentiels de sa stratégie d’après Guerre Froide de crises permanentes crées de toute pièce, tout en utilisant « l’Islam radical » pour ses propres buts, les exemples biens connus étant : (1) Le soutien de Ben Laden à la guerre contre la Russie en Afghanistan, (2) le soutien apporté à Saddam Hussein dans la guerre contre l’Iran, (3) le soutien apporté à l’Armée de Libération du Kosovo (l’UCK) pour supprimer la souveraineté sur un Kosovo riche en matières première, l’UCK ayant été miraculeusement métamorphosée de la liste des « organisations terroristes » tenues par le Département d’État en des « des combattants de la liberté. » Quand les mondialistes américains se posent comme ennemis des Musulmans, ces derniers devraient dîner avec le Grand Satan avec une cuillère extrêêêmement longue. Qu’est ce que le Pacific Council on International Policy ? Le PCIP dont Rivkin est membre a été fondé en 1995, comme une branche régionale du think tank mondialiste omniprésent, le Council on Foreign Relations (CFR), [3] dont le quartier général est situé à Los Angeles, mais « avec des membres et des activités à travers la Côte Ouest des États Unis et internationalement. » Le financement d’entreprise provient, parmi d’autres de : La Carnegie Corporation de New York Le Chicago Council on Foreign Relations La City National Bank aujourd’hui Citigroup, après une fusion en 1999 avec la Citicorp La Fondation Ford La Fondation Bill et Melinda Gates la Fondation William & Flora Hewlett Le Fond Rockefeller Brothers La Fondation Rockefeller L’United States Institute of Peace[4] Le PCIP est donc un autre grand acteur du réseau mondialiste comprenant des centaines d’organisations, de lobbies, de groupes de « la société civile, » d’Organisations non Gouvernementales liés les uns aux autres, et de think tanks, associés avec les banques et les autres entreprises. Comme d’habitude, il y a une présence bien visible des intérêts de Rockefeller. Pourquoi la France ? La France a longtemps été une épine dans le flanc du mondialisme américain à cause de son adhésion obstinée aux intérêts français à travers le monde, plutôt qu’à ceux de la « communauté internationale » artificielle, bien que le régime de Sarkozy soit une exception. Cependant, la France est l’un des seuls États d’Europe Occidentale avec une forte conscience nationale encore présente. La meilleure méthode pour détruire de tels sentiments – qui se traduisent trop souvent en politiques – est d’affaiblir les concepts de nation et de nationalité par le biais de la promotion du « multiculturalisme. » Était-ce seulement une coïncidence que la révolte étudiante de 1968, causée pour les plus puériles des raisons, eut lieu à une époque où à la fois la CIA était très active dans le financement des groupes étudiants à travers le monde, et à une époque où le Président de Gaulle portait aux USA de sérieux coups en matière de politique étrangère ? De Gaulle s’est très peu compromis dans les plans post-guerre. Il a retiré la France du commandement militaire intégré de l’OTAN, pendant la Seconde Guerre Mondiale les USA ne lui faisaient pas confiance. [5] Une grande inquiétude, aurait été le programme de De Gaulle d’une Europe unie pour s’opposer à l’hégémonie américaine. [6] En 1959, il déclarait à Strasbourg : « Oui, c’est l’Europe, de l’Atlantique à l’Oural, voilà toute l’Europe, qui décidera de la destinée du monde. » L’expression impliquait une coopération entre une Europe future et l’URSS. En 1967, il déclara un embargo sur les armes sur Israël et lança une politique amicale envers le monde arabe. Voila le type d’héritage que les mondialistes craignent. Avec les bouffonneries de Sarkozy, et la tension croissante avec la jeunesse musulmane désenchantée, une secousse pourrait voir un régime « xénophobe, » intégralement antimondialiste venir au pouvoir. Dans le contexte actuel, quelle meilleure méthode pour déstabiliser le nationalisme français et pour déstabiliser toute possibilité de le faire revivre comme force d’antimondialisation, que d’utiliser son importante composante islamique non assimilée, juste comme la Révolution Bolchevique fut entreprise à une échelle significative par les minorités désenchantées de l’Empire Russe ? La préoccupation de cette délégation sur l’influence d’Hollywood sur la culture française est aussi très intéressante. Cela pourrait sembler à première vue une préoccupation étrange. Cependant, Hollywood comme symbole économique de l’excroissance culturelle, est un acteur majeur de la mondialisation, dans ce qui équivaut à une guerre contre la culture mondiale. Au final, le but du mondialisme n’est pas de promouvoir la survie des cultures et des identités ethniques, mais plutôt de les submerger dans un gigantesque melting-pot de consumérisme mondial, pour déraciner tous les individus d’une identité et d’un héritage et de le remplacer par les gigantesques supermarchés Wall Mart, et « par le village global. » Donc le multiculturalisme devrait être considéré comme le contraire absolu de ce que l’on en comprend habituellement. Les multinationales ne veulent absolument pas et de loin, promouvoir le soi-disant multiculturalisme sous les termes d’assurer l’existence de cultures multiples, comme l’implique le terme ; il est au contraire un élément d’un processus par lequel sous la façade des idéaux, des peuples d’héritage énormément différent sont déplacés dans le monde entier comme des pions sur un jeu d’échec, le but étant de détruire les nations culturellement spécifiques. C’est un exemple de la « double pensée » Orwellienne. [7] Il est notable que les instigateurs des « Révolutions de Velours » atteignant maintenant l’Afrique du Nord et l’Iran sont largement des jeunes « laïcs » sans fortes racines traditionalistes. De la même façon, la meilleure manière de résoudre les problèmes ethniques et de s’assurer que la France ne ré-émerge plus pour se confronter aux intérêts Américains/ mondialistes, est de créer dialectiquement une synthèse culturelle où, il n’y a ni culture Française ni culture Islamique, mais sous la bannière des « droits de l’homme » et de « l’égalité, » une culture mondialiste basée sur la jeunesse nourrie par Hollywood, MTV, le cyberespace, Mac Donald et Pepsi. Que ce soit plus qu’une hypothèse est indiqué par la manière dont les révoltes de la jeunesse laïcisée prennent place en Afrique du Nord ont été manipulées par une alliance des intérêts d’entreprise, sponsorisée par le Département d’État Américain et les différentes ONG tels que Freedom House. [8] Les « révolutionnaires » Nord-Africains renversant les régimes sont juste le type de « Musulmans » que les mondialistes préfèrent rempli de la mentalité du cyber-consommateur. Donc à quoi se préparent Rivkin et le Département d’État en France, pour qu’ils soient si intéressés par la place d’Hollywood et des Musulmans dans ce pays ? Notes 1. “2010 France Country Dialogue,” PCIP, http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=583 2. “2010 France Country Dialogue,” ibid. 3. “Founded in 1995 in partnership with the Council on Foreign Relations,” PCIP, Governance, http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=373 4. Corporate and Foundation funding: http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=513 5. S. Berthon, Allies At War (London: Collins, 2001), p. 21. 6. A. Crawley, De Gaulle (London: The Literary Guild, 1969), p. 439. 7. « Le pouvoir de tenir deux croyances contradictoires dans un esprit simultanément, et de les accepter toutes les deux… » ” George Orwell, Nineteen Eighty-Four (London: Martin Secker and Warburg, 1949), Part 1, Ch. 3, p. 32. 8. K. R. Bolton, “Twitters of the World Unite! The Digital New-New Left as Controlled Opposition,” Part 1, Part 2, Part 3, and Part 4. Tony Cartalucci, “Google’s Revolution Factory – Alliance of Youth Movements: Color Revolution 2.0,” Global Research, February 23, 2011, http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=23283 Partie 2 sur 3 muslimsTraduction tchèque ici Le projet Rivkin pour la déstabilisation de la jeunesse française En 2010, quand l’ambassadeur Charles Rivkin invita une délégation de ces collègues membres du Pacific Council on International Policy (Conseil du Pacifique sur la Politique Internationale) en France, il avait délimité un programme pour l’Américanisation de la France qui impliquait essentiellement l’utilisation des minorités musulmanes et l’endoctrinement de la jeunesse française par les idéaux mondialiste des entreprises. Le slogan invoqué était l’engagement historiquement commun de la France et des États Unis envers « l’égalité. » Wikileaks a mis en ligne le programme « confidentiel ». Il est intitulé «La stratégie d’engagement des minorités. » [1] Ici, Rivkin souligne un programme qui une ingérence flagrante dans dans les affaires intérieure d’une Nation souveraine et, plus profondément, cherche à changer les attitudes des générations de la jeunesse musulmane et française afin qu’elles fusionnent dans une nouvelle synthèse mondialiste ; ou ce qui pourrait être appelé une nouvelle humanité : l’Homo Economicus, ou ce que l’analyste financier G. Pascal Zachary appelle « le Moi Mondial, » [2] pour réaliser ce que Rivkin décrit comme étant « l’intérêt national » des États Unis. Rivkin commence en déclarant que son ambassade a crée une « Stratégie de séduction de la minorité » qui est d’abord dirigé vers les Musulmans en France. Rivkin souligne comme une partie du programme : « Nous intégrerons aussi les efforts des différentes sections de l’Ambassade, nous ciblerons les élites influentes parmi nos audiences les plus importantes, et évaluerons les indicateurs à la fois tangibles et intangibles de notre stratégie. » [3] Rivkin est confiant dans le fait que le libéralisme idéologique historique de la France « nous servira bien quand nous implanterons la stratégie soulignée ici… dans laquelle nous ferons pression sur la France… » Notez bien la phrase : « ferons pression sur la France. » Le programme mondial américain est lié par Rivkin à son plan pour la transformation de la France en « un système politique prospère et intégrateur [qui] servira nos intérêts en répandant la démocratie et en augmentant la stabilité dans le monde entier. » Le programme se focalisera sur les « élites » françaises et les élites de la communauté musulmane, mais impliquera aussi une campagne de propagande massive dirigée vers la « population générale », avec une focalisation sur la jeunesse. À hauts niveaux, les officiels américains placeront les officiels français sur la défensive. Le programme comprendra aussi la redéfinition de l’histoire Française dans les programmes scolaires pour montrer le rôle des minorités non françaises. Cela signifie que l’on donnera à la génération Pepsi/MTV des Américains de nouvelles définitions de la culture française et l’écriture de nouvelles pages de l’histoire française pour aller dans le sens des priorités mondialistes. À cette fin : « … nous continuerons et intensifierons notre travail avec les musées et les éducateurs français pour réformer les programmes d’histoire enseignés dans les écoles françaises. » « La Tactique numéro trois » est intitulée : « Lancement d’une opération séduction massive de la jeunesse. » Comme dans d’autres États ciblés par le Département d’État et leurs alliés du réseau Soros, le Freedom House, le Movement.org, la National Endowment for Democracy, le Solidarity Center, [4] et d’autres encore ; les jeunes désenchantés sont la cible du changement. L’agence motrice, l’inter-agence Youth Outreach Initiative (l’Initiative pour la Séduction de la Jeunesse) a pour but « d’engendrer une dynamique positive parmi la jeunesse française qui mènera à un plus grand soutien aux objectifs et aux valeurs américaines. » Est-ce que les intentions peuvent être déclarées de façon plus franches ? Est-ce de l’Américanisation culturellement et politiquement ? C’est là que nous pouvons plus facilement voir l’arrière plan et voir clairement ce qui est derrière la stratégie : former une génération « qui sera motrice d’un soutien plus grand des objectifs et des valeurs américaines. » Ces « objectifs et valeurs américaines » seront vendus aux Français comme des valeurs françaises sur la base des idéaux bourgeois de 1789 qui continuent à encombrer l’idéologie française à la fois à Gauche et à Droite. On les poussera à penser qu’ils soutiennent les traditions françaises, plutôt que d’agir comme les agents du changement selon les « valeurs américaines » : les valeurs d’un village global et du supermarché géant Wall Mart. On souligne un programme de plus large portée comprenant une grande variété de méthodes d’endoctrinement : Pour réaliser ces buts, nous nous appuierons sur les programmes élargis de diplomatie publique déjà en place à l’ambassade, et développeront des moyens créatifs, supplémentaires pour influencer la jeunesse française, en employant les nouveaux médias, les partenariats d’entreprise, les compétitions nationales, les événements de sensibilisation ciblés, surtout des invités triés sur le volet en Amérique. [5] Le programme dirigé vers la jeunesse de France est similaire à celui dirigé vers la jeunesse qui a formé l’avant-garde des « Révolutions de Velours » de l’Est de l’Europe à l’Afrique du Nord. Les élites potentielles sont sur le point d’être récupérées par le Département d’État en France et couvées pour jouer un rôle dans la France future conçue par les Américains : « Nous développerons aussi de nouveaux outils pour identifier, apprendre de, et influencer les futures élites françaises. » Comme nous étendons les opportunités d’échange et de formation pour la jeunesse de France, nous continuerons à nous assurer absolument que les échanges que nous soutenons soient tournés vers l’intégration. Nous construirons sur les réseaux de jeunesse existant en France, et en créeront de nouveaux dans le cyberespace, connectant les futurs dirigeants de la France les uns aux autres dans un forum dont les valeurs aideront à façonner – les valeurs de groupe, de respect mutuel, et de dialogue ouvert. [6] Ici, Rivkin souligne quelque chose au delà d’influencer les Musulmans de France. Il déclare qu’une partie significative du programme sera dirigée vers l’éducation de la jeunesse française, des élites potentielles, par les idéaux américains sous la façade des idéaux français. Le Département d’État Américain et leurs entreprises alliées et les ONG alliées ont l’intention de « façonner leurs valeurs. » Le programme mondialiste pour la France est clairement énoncé comme étant la ré-éducation de la jeunesse française. L’on penserait que c’est le rôle d’abord du gouvernement français, de l’Église Catholique et de la Famille ; ces deux dernières institutions en particulier. Les bureaucrates américains et leurs acolytes stupides recrutés parmi les professions libérales vont reformuler les nouvelles « valeurs françaises. » Comme dans les États qui ont été choisis pour « les Révolutions de Velours » comme élément de la stratégie qui comprend la fixation des limites politiques. Comme Hillary Clinton l’a récemment déclaré à propos du type d’État que l’Establishment Américains souhaite voir émerger après Kadhafi, la nouvelle Libye devrait être une démocratie intégrante, ouverte à toutes les opinions, aussi longtemps que ces opinions signifient un engagement envers « l’égalité » et « la démocratie » ; en d’autres mots, la liberté est donnée en Libye, aussi longtemps que la liberté ne s’étend pas au delà de la définition américaine de celle-ci. Et si quelqu’un franchit les limites de la démocratie acceptable, les bombardiers américains sont dans les starting blocks. Dans le contexte de la France, cependant, il est clair que la limite de la politique française les diktats mondialistes ne peuvent pas supporter tout élément de la soi-disant « xénophobie » (sic), ce qui dans le contexte d’aujourd’hui inclurait aussi un retour à la politique de grandeur de De Gaulle. D’où le fait que « la Tactique 5 » déclare : Cinq, nous continuerons notre projet de partage des meilleures pratiques avec les « young leaders » (jeunes élites) sur tous les plans, y compris les jeunes dirigeants politiques de tous les partis modérés afin qu’ils aient les boîtes à outils et des formateurs pour aller de l’avant. Nous créerons notre formation de soutien et des programmes d’échange qui enseignerons la valeur durable d’une intégration de grande ampleur aux écoles, aux groupes de la société civile, les conseillers politiques, et les politiciens locaux. [7] Rivkin propose un programme pour former les futurs dirigeants politiques et civiques de la France. Alors que les programmes des ONG soutenues par le gouvernement américains, telles que le National Endowment for Democracy – étaient ostensiblement conçus pour développer des programmes et des stratégies entiers pour les partis politiques dans « les démocraties en émergence, » tels que les États de l’ex-bloc Soviétique – peuvent être justifiés par le manque d’un héritage politique dans ces pays de démocratie libérale, la même raison ne peut pas être utilisée pour justifier l’ingérence américaine dans la politique française. À cette fin, Rivkin déclare qu’on fournira aux 1,000 professeurs de langue anglaises employés dans les écoles françaises, le matériel de propagande nécessaire pour inculquer les idéaux désirés dans les élèves français : « Nous fournirons aussi les outils pour enseigner la tolérance au réseau de plus de 1,000 étudiants d’Université qui enseignent l’Anglais dans les Écoles Françaises chaque année. » Le programme de longue portée sera coordonné par le « Minority Working Group » (Groupe de Travail sur les Minorités) en tandem avec la « Youth Outreach Initiative. » l’un des problèmes surveillés par le Groupe sera la « baisse du soutien populaire pour les programmes et les partis politiques xénophobes. » Ceci afin de s’assurer que le programme marche comme il devrait pour bloquer le succès de tout parti « extrême » ou « xénophobe » qui pourrait défier la mondialisation. Rivkin clarifie la nature subversive du programme en déclarant : «Alors que nous ne pourrons jamais réclamer le crédit de ces développements positifs, nous concentrerons tous nos efforts à la réalisation de ces activités, décrites plus hauts, que nous impulserons, pousserons, et stimulerons le mouvement dans la bonne direction. » Quelle serait la réaction si le gouvernement français, à travers son ambassade à Washington, entreprenait un programme pour changer radicalement les USA en accord avec « les intérêts nationaux français, » inculquant par un « programme de séduction agressif » se concentrant sur la jeunesse, « les idéaux français » sous le couvert des « idéaux américains sur les droits de l’homme. » Quelle serait la réponse de l’administration américaine, si on découvrait que le gouvernement français essayait aussi d’influencer les attitudes des Afro-Américains, des Natifs-Américains, et des Latinos ? Quelle serait la réaction officielle des États Unis, si l’on découvrait que les éducateurs de langue françaises dans les écoles et les universités américaines essayaient d’inculquer aux élèves américains des idées au service des intérêts français ? La réaction plausible peut être déduite de la réponse américaine à la « conspiration soviétique », quand le Sénat et les Comités du Congrès ont été établis pour enquêter sur quiconque même vaguement était associé à l’URSS. Donc, qu’y a t’il de différent ? Les USA perpètrent un programme de déstabilisation dans les intérêts de son élite patronale mondialiste, à la place des intérêts de l’URSS ou du communisme. Ce n’est pas comme si les USA avaient eu tant d’héritage culturel que cela pour qu’ils puissent se présenter devant n’importe laquelle des nations européennes, sans parler de la France, comme le parangon du bon goût et du raffinement artistique sur laquelle une identité nationale puisse être construite. Dans cette affaire, il s’agit plus de déconstruction. Notes 1. C. Rivkin, “Minority Engagement Report,” US Embassy, Paris, http://www.wikileaks.fi/cable/2010/01/10PARIS58.html 2. G. Pascal Zachary, The Global Me: Why Nations will succeed or Fail in the Next Generation (New South Wales, Australia: Allen and Unwin, 2000). 3. Rivkin. 4. K. R. Bolton, “The Globalist Web of Subversion,” Foreign Policy Journal, February 7, 2011, http://www.foreignpolicyjournal.com/2011/02/07/the-globalist-web-of-subversion/ 5. Rivkin. 6. Rivkin. 7. Rivkin. Partie 3 sur 3 mcdonalds-franceLe rôle du multiculturalisme dans le programme mondialiste Beaucoup de buts néfastes ont été imposés sous la bannière du multiculturalisme et des slogans tels que « l’égalité » et « les droits de l’homme. » Comme « le slogan de la démocratie » a été utilisé pour justifier les États bombardiers à travers l’histoire récente, ces slogans ont souvent servi comme rhétorique pour clamer les belles intentions tout en dissimulant les buts de ceux motivés par peu voir rien d’autre chose que le pouvoir et l’avidité. L’on pourrait penser à la manière par laquelle le problème des Uitlanders a été agité pour justifier les guerres Anglo-Boers dans le but de s’emparer des richesses minières de l’Afrique du Sud, pour le bénéfice de Cécil Rhodes, Alfred Beit (Cecil Rhodes), et les autres. Une question similaire a été soulevée à notre époque, sous le nom de « la lutte contre l’Apartheid, » et tandis que que le monde se réjouissait de la prise du pouvoir de l’ANC, la réalité fut que les Africains n’en ont pas profité matériellement d’un iota, mais les parastatals, ou les entreprises publiques sont en train d’être privatisées afin qu’elles puissent être vendues au capitalisme mondial. Quand le patriarche du capitalisme Sud-Africain, Harry Oppenheimer, dont la famille était un ennemi traditionnel des Afrikaners, est mort en 2000, Nelson Mandela lui fit une éloge de la sorte : « Sa contribution pour l’édification entre les milieux d’affaires et le nouveau gouvernement démocratique dans cette première période de démocratie est absolument inestimable. » [1] La « démocratie » qu’Oppenheimer et les autres ploutocrates en lien avec l’ANC ont crée en Afrique du Sud est la liberté pour le capital mondial d’exploiter le pays. Mandela déclara le résultat de cette « longue marche vers la liberté » en 1996 : « La privatisation est la politique fondamentale de l’ANC et le restera. » [2] En commentant la privatisation du service municipale de fourniture d’eau de Johannesburg, qui appartient maintenant à l’entreprise française Lyonnaise des Eaux, l’ANC émit des déclarations affirmant que : « Eskom est l’une des entreprises semi-publiques « les parastatals » crées pendant l’époque de l’Apartheid, que le gouvernement démocratiquement élu a privatisée afin de lever de l’argent. » [3] C’est le même résultat que l’Afrique du Sud qui a été réalisé par la « libéralisation » des matières premières kosovares au nom de la « démocratie » et au nom des droits des Musulmans sous la domination serbe, alors que les autres Musulmans sous leur propre domination sont poussés à la soumission par les bombardements des USA et par ses alliés. Les buts du capitalisme mondial La nature de la dialectique mondialiste a été expliquée de façon particulièrement convaincante par Noam Chomsky : Voyez, le capitalisme n’est pas fondamentalement raciste – il peut utiliser le racisme pour ses buts, mais le racisme n’est pas un de ses piliers. Pour résumé, le capitalisme veut que les gens soient des rouages interchangeables, et les différences parmi eux, telles que sur la base de la race, ne sont pas habituellement fonctionnelles. Je veux dire, qu’elles peuvent être importantes pendant une période, comme si vous vouliez une main d’œuvre surexploitée, mais ces situations sont l’anomalie. Sur le long terme, vous pouvez vous attendre à ce que le capitalisme soit antiraciste – car il n’est pas anti-humain. Et la race est en réalité une caractéristique humaine – il n’y a aucune raison pour laquelle la race devrait être une caractéristique négative, mais c’est une caractéristique humaine. Donc en conséquence les identifications basées sur la race interfèrent avec l’idéal de base que les gens devraient être utilisables simplement en tant que consommateurs et producteurs, des rouages interchangeables qui achèteront toute la merde qui est produite – voilà leur fonction ultime, et les autres propriétés qu’ils pourraient avoir sont d’aucunes portées, et habituellement en nuisance. [4] La déclaration de Chomsky exprime avec acuité la situation dans sa totalité. La France comme un laboratoire social de la mondialisation L’offensive de Rivkin est la dernière d’une longue ligne de programmes pour saper l’identité française, la France est un paradoxe, combinant les valeurs cosmopolites de la Révolution bourgeoise de 1789 par un traditionalisme et nationalisme obstiné, que les mondialistes appellent « xénophobie. » Il s’est manifesté même par de petites manières tels que l’obligation légale donnée aux fonctionnaires et aux politiciens français de parler seulement en Français dans les médias étrangers, peu importe leur connaissance de tout autre langue ; ou la résistance répandue en France aux Mac Donald et à Disney World. La France, comme la plupart du reste du monde, cependant, mène une bataille culturelle en voie d’être perdue contre la mondialisation. L’éditorial de Jeff Steiner « les Américains en France, » raconte la manière par laquelle les Français ont résisté un temps à l’ouverture de la franchise américaine de fast food en tant « qu’une partie d’une invasion culturelle américaine. » Steiner écrit : … Cela semble être une chose du passé, que les Mac Donald soient donc devenus un élément de la culture française qui n’est plus du tout considéré comme une importation américaine, mais comme pleinement Français. En résumé, les Mac Donald ont cru en France comme dans beaucoup de pays. J’ai été à quelques Mac Donald en France et, mis à part un seul à Strasbourg qui de l’extérieur semble s’intégrer au style architectural traditionnel alsacien, tous les Mac Donald en France que j’ai vu ne sont pas différents de leurs homologues américains. Oui,il y a toujours ceux qui vouent toujours aux gémonies Mc Do (ils sont maintenant un très petit groupe et largement ignorés) comme le symbole de l’Américanisation de la France et qui voient aussi ce phénomène comme la perte par la France de son identité gastronomique. Le menu dans les Mac Donald français est presque une copie conforme de ce que vous pourriez trouver dans n’importe lequel des Mac Donald aux États Unis. Cela m’a semblé très frappant et bizarre le fait que je pouvais commander comme je le ferais aux États Unis, c’est en Anglais, avec les étranges prépositions françaises intercalées. Pour dire la vérité, les Français qui mangent aux Mac Donald s’y sentent autant chez eux que les Américains pourraient l’être. [5] Cet exemple apparemment trivial est en fait d’une importance immense dans la démonstration et le spectacle de la dynamique de comment une culture aussi forte que celle de la France – jusqu’à récemment une Nation immensément fière – peut succomber, surtout sous la pression du marketing envers les jeunes. C’est une étude de cas par excellence de la standardisation qu’implique la culture d’entreprise américaine. C’est ce que l’élite mondialiste désire à une échelle globale, jusqu’au point de ce que l’on mange. Il est notable que l’avant garde de la résistance aux Mac Donald soit venue des agriculteurs, un segment traditionaliste de la population de l’Europe qui devient de plus en plus une anomalie et sous le régime mondialiste deviendra des espèces en voie d’extinction puisque l’agriculture cédera la place à l’agrobusiness. Étant donné le statut de la France en Europe et sa tendance historique à maintenir sa souveraineté en opposition aux intérêts américains – même très récemment avec son opposition à la guerre en Irak – la France reste un des quelques points d’achoppements du mondialisme en Europe. Un souci de plus est que les Français pourraient utiliser leur « xénophobie » opiniâtre aux urnes et éliront un parti férocement anti-mondialiste, comme reflété dans les hauts et les bas du Front National, qui s’oppose à la fois à la mondialisation et aux privatisations. Voilà une raison majeure du programme de grande portée subversif et interventionniste d’assimiler les Musulmans à la société française, qui transformerait radicalement la conscience française pour être plus profondément cosmopolite. L’intention est assez claire dans les documents d’ambassade de Rivkin, où il est déclaré que l’Ambassade surveillera les effets du programme de « séduction » sur la « baisse du soutien populaire pour les partis et les programmes politiques xénophobes. » Contre la « xénophobie » de la France, l’étude de R.J Barnet et R.E Müller issus de l’entreprise mondiale Global Reach, [6] basé sur les interviews des dirigeants d’entreprise, montre que les élites d’affaires françaises cherchent depuis longtemps de saper les fondations de la tradition française. Jacques Maisonrouge, Président de la World Trade Corporation « aime relever que ‘À bas les frontières,’ un slogan étudiant révolutionnaire du soulèvement de l’Université de Paris en 1968 – dans lequel certains de ces enfants étaient impliqués – est aussi un slogan de bienvenue d’IBM. [7] Maisonrouge affirmait que les « Managers Mondiaux » (voilà comment Barnett et Muller appellent les dirigeants des entreprises) croient qu’ils rendent le monde « plus petit et plus homogène. » [8] Maisonrouge décrivait avec approbation les chefs d’entreprises mondiaux comme « des professionnels de carrière internationaux, détribalisés. » [9] C’est la « détribalisation » qui est la base « d’une culture du consommateur mondial » et qui exigeait de créer plus efficacement une économie mondiale. Paris est déjà un centre cosmopolite et donc idéal comme prototype de la « ville mondiale » du futur. Dans les années 1970, Howard Perlmutter et Hasan Ozekhan du Programme des Institutions Mondiales de la Wharton School of Finance ont préparé un plan pour une « ville mondiale. » Paris a été choisie en ce but. Le Prof. Perlmutter était un consultant pour beaucoup de ces entreprises. Son plan a été commandé par l’agence de planification du gouvernement français. Perlmutter prédisait que les villes deviendraient « des villes mondiales » pendant les années 1980. Pour Paris, cela exigeait « de devenir moins Française » et de subir « la dénationalisation. » Ceci, disait-il, exige « un changement psycho-culturel de l’image d’impression traditionnelle de ‘xénophobie’ qui semble émaner des Français. » Les parallèles avec le programme actuel de Rivkin sont apparents. Perlmutter suggérait que la meilleure façon de débarrasser la France de son nationalisme était d’introduire le multiculturalisme. Il défendait « la mondialisation des évènements culturels » tels que les festivaux internationaux de rock, comme un antidote à « la culture ouvertement nationale et parfois nationaliste. » [10] La destruction de « la culture ouvertement nationale et parfois nationaliste » de la France est le motif que Rivkin cherchait à favoriser de plus forts liens entre Hollywood et l’industrie de la culture française. [11] Rivkin connaît la valeur du divertissement dans la transformation des attitudes, surtout parmi les jeunes. Après avoir travaillé en tant qu’analyste financier d’entreprise à Salomon Brothers, Rivkin a rejoint la Jim Henson Company en 1988 en tant que directeur de planification stratégique. Deux ans plus tard, il était fait vice-président de la compagnie. La Jim Henson Company produit Sesame Street, dont les mignonnes petites poupées répondaient à un ordre du jour mondialiste bien calculé pour toucher les petits enfants. Lawrence Balter, professeur de psychologie appliquée à l’Université de New York, écrivit que Sesame Street « présentait aux enfants une grande variété d’idées, d’information, et d’expériences sur des sujets divers tels que la mort, la fierté culturelle, les relations raciales, les handicapés, le mariage, la grossesse, et même l’exploration spatiale. » Les séries ont été la première à employer des chercheurs en éducation, par la formation d’un Département de Recherche. [12] Sesame Street a reçu différents financements de la Fondation Ford, la Carnegie Corporation, et du Bureau Américain de l’Education. Il est intéressant de relever en passant que la Carnegie Corporation et la Fondation Ford financent aussi le Pacific Council on International Policy. La création du consommateur mondial Comme Chomsky l’a relevé, le capitalisme mondial considère l’humanité sous les termes de rouages interchangeables dans le cycle de la production et de la consommation. Le sommet de l’évolution humaine d’entreprise est la transformation en des « professionnels de carrière détribalisés, internationaux. Selon le journaliste financier G. Pascal Zachary, ces cosmopolites apatrides constituent une « aristocratie informelle globale » recrutés dans le monde entier par les entreprises, dépendant totalement de leurs entreprises et « peu du grand public, » une nouvelle classe plus entravée par les liens nationaux, culturels, ou ethniques. [13] Barnett et Muller citèrent John J. Powers de Pfizer comme déclarant que les multinationales sont « les agents du changement, socialement, économiquement, et culturellement. » [14] Ils affirmaient que les dirigeants mondiaux considèrent « le nationalisme irrationnel » comme inhibant « le libre flux du capitale financier, de la technologie, et des biens sur une échelle mondiale. » un aspect crucial du nationalisme est « les différences dans les attitudes psychologiques et culturelles, qui complique l’oeuvre d’homogénéisation de la terre en une unité intégrée… Le nationalisme culturel est aussi un sérieux problème parce qu’il menace le concept de Centre de Shopping Mondial. » [15] Ce « nationalisme culturel » est décrit par Rivkin et tous les autres partisans du mondialisme comme de « la xénophobie, » à moins que « la xénophobie » puisse être utilisée au service d’une aventure militaire quand les pots de vin, les embargos et les menaces ne ramènent pas un État réticent dans la ligne, comme dans les cas de la Serbie, de l’Irak, et peut être bientôt, de la Libye. Alors l’élite mondialiste américaine et leurs alliés deviendront « les patriotes. » Barnet et Muller citent A.W Clausen quand il dirigeait Bank of American, comme déclarant que les différences nationales, culturelles, et raciales créent des « problèmes de marketing, » se lamentant qu’il n’y ait « pas de telle chose qu’un marché uniforme, mondial. » [16] Harry Helzer, PDG de 3M a déclaré que les multinationales sont une « voix puissante pour la paix mondiale car leur allégeance ne va à aucune nation, aucune langue, aucune race, ou de croyance mais à l’une des plus nobles aspirations de l’humanité, que les peuples du monde soient unis dans un but économique commun. » [17] Ces « nobles aspirations de l’humanité, » connus en d’autres cultures comme l’envie, l’avarice, et la dévotion à Mammon, ont pillé la terre, causé un déséquilibre économique globale, et fonctionné sur l’usure qui était considéré lors d’époques plus heureuses, comme un pêcher. Ces « nobles aspirations, » selon les paroles des entreprises, ont causé plus de guerres que tout dictateur « xénophobe », habituellement sous le nom de « la paix mondiale, » et de « la démocratie. » La doctrine de Rivkin pour la France – qui selon le document fuité, doit être menée à bien d’une manière subtile – est un programme de déstabilisation de grande ampleur pour surtout transformer la jeunesse en des clones mondiaux privés d’identité culturelle, tout en pratiquant, à la manière Orwelienne, « la double pensée, » sous le nom de « multiculturalisme. » Notes 1. “Mandela honours ‘monumental’ Oppenheimer”, The Star, South Africa, August 21, 2000, http://www.iol.co.za/index.php?set_id=1&click_id=13&art_id=ct20000821001004683O150279 (accessed September 27, 2009). 2. Lynda Loxton, “Mandela: We are going to privatise,” The Saturday Star, May 25, 1996, p.1. 3. ANC daily news briefing, June 27, 2001. See also “Eskom,” ANC Daily News Briefing, June 20, 2001, 70.84.171.10/~etools/newsbrief/2001/news0621.txt 4. Noam Chomsky, Understanding Power: The Indispensable Chomsky (New York: The New York Press, 2002), pp. 88–89. 5. J. Steiner, “American in France: Culture: McDonalds in France, http://www.americansinfrance.net/culture/mcdonalds_in_france.cfm 6. R. J. Barnet and R. E. Müller, Global Reach: The Power of the Multinational Corporations (New York: Simon and Schuster, 1974). 7. Global Reach, p. 19. For an update on Maisonrouge see: IBM, http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/builders/builders_maisonrouge.html 8. Global Reach, , p. 62. 9. Global Reach, ibid. 10. Global Reach, pp. 113–14. 11. “2010 France Country Dialogue,” PCIP, op. cit. 12. L. Balter, Parenthood in America: An Encyclopaedia, Vol. 1 (ABC-CLIO, 2000), p. 556. 13. G. Pascal Zachary, The Global Me (New South Wales: Allen & Unwin, 2000). 14. Global Reach, p. 31. 15. Global Reach, p. 58. 16. Global Reach, ibid. 17. Global Reach, p. 106. Source : Comment le mondialisme utilise le multiculturalisme pour déstabiliser les États souverains Kerry Bolton About these ads

LA FINANCE ISLAMIQUE UN DANGER POUR LES ROTHSCHILDS

Les Rothschilds veulent la banque de l’Iran Est-ce que prendre le contrôle de la Banque centrale de la République islamique d’Iran (CBI) est une des raisons principales pour que l’Iran soit la cible des pouvoirs occidentaux et israéliens ? Comme les tensions poussent à une guerre inéluctable avec l’Iran, il faut explorer le système bancaire de l’Iran par rapport à ses homologues américains, britanniques et israéliens. Certains chercheurs soulignent que l’Iran est seulement un des trois pays dans le monde, dont la Banque centrale n’est pas sous contrôle de Rothschild. Avant le 9-11 y avaient sept : Afghanistan, Irak, Soudan, Libye, Cuba, la Corée du Nord et en Iran. Cependant, en 2003, l’Afghanistan et l’Irak ont été engloutis par la pieuvre de Rothschild et en 2011 le Soudan et la Libye ont également disparus. En Libye, une banque Rothschild a été créée à Benghazi alors que le pays était encore en guerre. L’Islam interdit le chargement de l’usure, la pratique de la tarification excessive, déraisonnablement élevé et souvent interdit les taux d’intérêts sur les prêts, c’est un problème majeur pour le système bancaire de Rothschild. Jusqu’à ce qu’il y a quelques centaines d’années l’usure a été également interdit dans le monde chrétien et était même passible de mort, car elle était considérée comme de l’exploitation et de l’asservissement. Après que la famille Rothschild ait repris la Banque d’Angleterre, ils ont étendu leur contrôle bancaire dans tous les pays du monde. Leur méthode a été d’obtenir des politiciens corrompus du pays à accepter des prêts massifs, qu’ils peuvent jamais rembourser et donc s’endetter auprès des le Rothschild . Si un chef de file refuse d’accepter le prêt, il est souvent écarté ou assassiné comme Ben Ali, Mouammar Kadhafi, Hosni Moubarak récemment. Et si cette opération échoue, des invasions peuvent suivre comme en Syrie, et une banque Rothschild qui pratique l’usure est établie. Les Rothschild exercent une puissante influence sur les principales agences de presse au monde. Par la répétition, les masses sont dupés en leur faisant croire à des histoires d’horreur sur les vilains méchants. Les Rothschild contrôlent la Banque d’Angleterre, la Réserve Fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale (BM) et la Banque des Règlements Internationaux (BRI). Aussi, ils possèdent la plus grande partie de l’or dans le monde ainsi que le London Gold Exchange, qui fixe le prix de l’or chaque jour. On dit que la famille est propriétaire de plus de la moitié de la richesse de la planète — estimé par le Credit Suisse à 231 milliards de dollars — et est contrôlée par Evelyn Rothschild, l’actuel chef de la famille. Des chercheurs objectifs soutiennent que l’Iran n’est pas diabolisé parce qu’ils sont une menace nucléaire, tout comme les talibans, Saddam Hussein en Irak et Kadhafi en Libye n’étaient pas une menace. Quelle est donc la vraie raison ? Est-ce les milliards et les milliards dans les bénéfices de l’huile ou les milliards dans les bénéfices de guerre ? Est-ce pour ruiner l’économie américaine, ou est-ce pour commencer la troisième guerre mondiale ? Est-ce pour détruire les ennemis d’Israël, ou pour détruire la Banque centrale iranienne afin que personne ne puisse défier le raquette de Rothschild ? La vraie raison pourrait être l’un de ces motifs ou, pire, tous.

PROJET SATANIQUE LE NOM LE NOUVEL ORDRE MONDIAL DU RACISME PAR LE DESORDRE

Dornach Le NOW, un complot américano-zioniste I Détruire les nations A leurs peuples 1 la famille Pourquoi la famille, car elle serait le dernier noyau de résistance au NOM, lorsque les nations auront été détruites, comme elles le furent lors de grandes invasions en Europe dans le passé ! a le complexe d’Œdipe Avec son complexe, Freud introduit au sein de la famille : l’amour maternel d’un garçon ou d’une fille serait entaché de désir pour sa mère ou son père, pervertissant ainsi les relations mère fils, père fils ! Dès lors, le garçon peut tuer le père qui devient un obstacle à son désir de coucher avec sa mère ! Aussi, tout contact physique devient tabou et les femmes abandonnent l’allaitement, pourtant fondamental pour construire une relation avec la mère sans parler des bienfaits du lait maternel par rapport au lait maternisé, et confient l’allaitement à des nourrices. Freud a tout simplement projetés ses fantasmes malsains et en a fait une règle générale d’analyse des rapports enfants-parents ! b le mariage homo Le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. Il peut dorénavant être celle de deux hommes ou de deux femmes ! Ce nouveau paradigme remet en cause la base des sociétés occidentales fondées sur le mariage et la filiation qui protège le génome et le renouvellement des générations. c la théorie du genre Cette théorie de John Money prétend que l’on ne naît pas homme ou femme, mais que l’on devient et ce n’est pas parce que l’on a le sexe approprié que l’on est de ce sexe. L’important est comment un être humain s’identifie : un garçon peut revendiquer être une fille et il doit être considéré comme tel ! Avec le mariage homo, cette théorie ébranle un peu plus les bases des sociétés européennes : la différence des sexes. Ces deux dispositions ont visiblement pour but de pervertir les structures nos sociétés et l’humanité, fondés sur la famille et l’altérité des sexes. 2 réduction de la population mondiale a l’eugénisme L’idée de ces fous dangereux qui veulent nous imposer leur nouvel ordre mondial, voudrait que le bonheur sur terre serait possible s’il n’y avait qu’entre 500 millions et un milliard d’Hommes sur terre. Il faut donc limiter les naissances en utilisant tous les moyens : la stérilisation forcée de masse, l’avortement contraint, l’empoisonnement des eaux avec des stérilisants et l’exploitation des gaz de schistes, de la faune, de la flore et de l’Homme avec les chemtrails. Dès les années 1920 et dans une bonne partie du Troisième Reich, la fondation Rockefeller a financé la recherche eugénique en Allemagne par l’Institut Kaiser-Wilhelm de Berlin et Munich, afin de stériliser de force les non aryens pour assurer la « pureté de la race ». C’est John D. Rockefeller III, défenseur toute sa vie de l’eugénisme, qui a utilisé l’argent de sa fondation pour lancer dans les années 50 le mouvement néo-malthusien de réduction des populations grâce à son Population Council à New York. David Rockefeller, l’ami de Bill Gates, et sa fondation Rockefeller, ont été impliqués dès 1972 dans un important projet en collaboration avec l’OMS, entre autres, pour mettre au point un" nouveau vaccin" pour activer la dépopulation. Bill Gates à révélé qu’il veut stériliser, par le biais de sa fondation philanthropique, 15% de la population mondiale ! Encore, plus 300.000 personnes, à plus de 90% des femmes, ont été ainsi stérilisées au Pérou de manière violente ou à leur insu entre 1995 et 1998. b les génocides Afin de supprimer les 6 milliards de trop, les mondialistes zionistes n’hésitent pas à utiliser des instruments de destructions massives comme les pandémies, les additifs alimentaires, les édulcorants alimentaires (E..,aspartame, glutamate, diflubenzuron etc.). Ils ont commencé par tuer 100 millions d’indiens, des millions de Juifs en Europe, des millions d’Ukrainiens pendant la révolution russe, des milliers de civils au Kosovo etc. A propos du massacre des juifs d’Europe, l‘UGIF l’ancêtre du CRIF aida la Gestapo à constituer des listes de juifs non zionistes, à rafler et à déporter. Les camps de concentration étaient dirigés par des zionistes qui voulaient punir les juifs non zionistes de ne pas venir habiter en Palestine. c les guerres Les banksters américainos-zionistes ont financé les deux camps de toutes les guerres depuis les guerres napoléoniennes jusqu’à la seconde guerre mondiale, Jacob Schiff, ayant financé le Japon lors de la guerre russo-japonaise, des coups d’états, la mise en place de dictatures jusqu’à aujourd’hui, toujours dans le but de faire de s’enrichir cyniquement au détriment des peuples et de détruire les nations qui ne correspondent pas au modèle qu’ils essaient d’imposer. Les guerres sont l’occasion de gagner beaucoup d’argent et de tuer des millions d’Hommes au nom de la lutte contre le communisme ou au nom de la démocratie, ou du droit d’ingérence : les américains des millions de vietnamiens pendant la guerre du Vietnam, cinq cent mille enfants irakiens à cause du blocus américano-zioniste . Les USA sont les champions dans ce domaine et leurs gouvernements sont responsables de millions de morts depuis Nixon. Les pays qui ont été victimes de cette stratégie du choc depuis Nixon sont : l’Argentine, le Chili, l’Uruguay, la Bolivie, l’Équateur, le Guatemala, le Venezuela, la Thaïlande, la Corée, la Malaisie, l’Indonésie, le Sri-Lanka, le Brésil, l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan, l’Afrique du sud, la Pologne, la Russie. Aujourd’hui, c’est le tour des pays européens : Grèce, Espagne, Portugal, Italie, de la Syrie et bientôt de l’Iran, mais des pays ayant compris cette stratégie, s’unissent pour lutter contre : la Russie, le Venezuela, la Chine, l’Argentine. d les révolutions La banque Rothschlid a financé la guerre de sécession, la révolution anglaise (Amschel Mayer Rothschild (1744-1812)) et la révolution bolchévique de 1917 avec Kuhn & Loeb, Jacob Schiff, les frères Warburg . Durant la révolution bolchévique, le juif Genrikh Yagoda, responsable du NKVD, est responsable du plus grand holocauste : il tua 10 millions de chrétiens russes dans les goulags avec le soutien financier du riche banquier juif Jacob Schiff. Les Rothschild ont renversé de Gaule en finançant mai 68. Aujourd’hui ils (Jacob, Nathaniel, John, Evelyn, David) sont derrière toutes les printemps , révolutions (de velours, colorées), révolutions arabes (Lybie, Tunisie, Egypte) voulant remplacer le système bancaire islamique par leur système basé sur l’usure. e les chemtrails Sous prétexte de maîtriser le réchauffement climatique, les mondialistes zionistes (le lobby juif Aipac a même un bureau à la Maison blanche et au Congrès américain) répandent avec des avions des produits biochimiques dans l’atmosphère. Sauf que les produits chimiques, comme l’aluminium, le fluor, Le baryum, le sélénium à fortes doses sont nocifs pour la santé de l’Homme : provoquent des pandémies comme la grippe, la méningite, l’encéphalite. Ils attaquent même son ADN et son système immunitaire ! On peut repérer le passage de ces avions par les traînées blanches qui ne disparaissent très lentement à la différence de celles des avions de ligne commerciaux ! f les vaccins Un autre moyen démoniaque pour réduire la population mondiale : la vaccination de masse comme celle de la polio qui est l’origine du passage du virus du singe à l’Homme et qui a causé des millions de morts dans le monde. Le vaccin de la variole a permis de stériliser les africaines, le vaccin contre le tétanos a stérilisé 3 millions de Philippines, le vaccin de la polio en Inde depuis 2002, donné gratuitement, a contaminé 47500 Hindous avec une maladie encore plus terrible que la polio. g le terrorisme L’extrémisme religieux islamique, créé, armé et financé longtemps par les USA, est utilisé pour semer la terreur, tuer la population autochtone ou la pousser à devenir des apatrides en émigrant, déstabiliser les nations comme en Irak, en Lybie et maintenant en Tunisie et en Syrie pour mettre plus facilement la main sur leur territoire, leurs richesses. II Détruire l’économie des Nations A la lutte des classes Alors que les relations patrons-employés s’orientaient vers l’association sous l’impulsion d’un patronal éclairé : le patronat alsacien, Marx décréta la lutte des classes et brisa l’esprit d’association qui régissait déjà les relations entre les patrons et les ouvriers dans toute l’ancienne Rhénanie. B L’imposition du modèle économique anglo-saxon La force du capitalisme européen était basé sur un modèle très efficace : le Modèle rhénan que les anglo-saxons se sont empressés de substituer après la seconde guerre mondiale par leur modèle destructeur d’entreprises et d’emplois, fondé sur le profit coûte que coûte et à court terme. 1 Par l’ultra libéralisme Depuis les années 70 les USA ont imposé un modèle économique dévastateur avec l’aide du FMI, de l’OMC et de la Banque mondiale, ayant eu le malheur de leur demander un prêt. a la suppression des frontières Tous les pays sont priés d’ouvrir leurs frontières, afin de laisser libre court à la rapacité des multinationales qui détruisent les entreprises locales, incapables de lutter contre la concurrence déloyale de celles-ci. La suppression des frontières a été obtenue en passant des accords douaniers (GATT), puis lors de négociations avec l’OMC. Les plus connus sont l’ALENA, l’AMI et maintenant le GMT que les Américains mondialistes veulent imposer à l’Europe. b la privatisation du public Tous les pays sont priés de privatiser leur secteur public et laisser les rapaces le démanteler et s’accaparer les pans les plus rentables. c la libre circulation des capitaux Plus de contrôle des changes, les capitaux peuvent envahir les pays provoquant une inflation énorme ou se retirer, créant des récessions, faute de capitaux pour financer l’économie réelle de ces pays. e Par la crise Les banksters sont responsables de toutes les crises économiques depuis le XIXe siècle : grande dépression de 1893, le crash de 29, des subprimes en 2007. Ces crises ont ruinés des millions d’épargnants, sont responsable de la perte de millions d’emplois et donc de la paupérisation des peuples et des états. f l’usure et la dette publique Les pays concernés sont obligés d’emprunter à des taux usuraires déterminés en fonction de la note que les agences de notations complices leur donnent, afin d’essayer d’endiguer leurs déficits abyssaux. Ne pouvant rembourser le capital emprunté, les pays s’enferment dans la spirale de la dette jusqu’à la banqueroute. Avec l’Europe les nations qui pouvaient emprunter à leur banque centrale à taux zéro, sont obligés dorénavant, d’emprunter aux banksters à des taux usuraires, d’où leur déficit abyssaux. 2 la paupérisation Si le but est de tuer le pays, le but est aussi d’appauvrir la population pour réduire sa résistance et la réduire au combat pour la vie. a par le chômage Les crises provoquent la disparition de millions d’entreprises et donc un chômage de masse, qui s’il est aidé dans les pays développés, n’est pas éternel et plonge une grande partie de la population dans la précarité, voire la pauvreté. b par l’impôt et les taxes Le reste de la population qui n’est pas encore frappée par le chômage est assommé par les impôts et les taxes, les politiques ne voulant pas dégraisser l’état obèse et dépensier. C Détruire leur agriculture Après avoir détruit l’industrie des pays, le NOM s’attaque à la destruction de leur agriculture vivrière. 1 Par les pesticides Il a commencé par substituer les engrais naturels par des engrais chimiques qui ont appauvris les terres et tué les paysans grâce aux nombreux cancers que provoquent l’utilisation des produits chimiques. 2 Grâce aux OGM Sous prétexte de remplacer les produits chimiques des herbicides, les semences ont été modifiées pour résister aux herbicides, provoquant elles aussi de nombreux cancers et amenuisant les défenses immunitaires des Hommes. Enfin les OGM stériliseraient l’Humanité en 3 générations si leur emploi était généralisé ! 3 Par la privatisation des semences L’utilisation de semences OGM ont rendu les paysans dépendants des producteurs de ces semences et lorsqu’ils ont voulus produire leurs semences, on leur a interdit de le faire. Le zioniste Laurent Fabius essaie d’imposer cette contrainte en France. Les multinationales ont essayé de breveter le vivant, mais les parlementaires de l’UE l’ont rejetée. 4 En imposant le codex alimentarius Dans le cadre du contrôle de la population mondiale, ce programme démoniaque de l’OMS et de l’ONU, consiste à contrôler le commerce de l’alimentation mondiale pour tuer les bouches inutiles qui consomment les ressources non renouvelables : irradiation des aliments afin de détruire les vitamines et les nutriments, injection d’hormones de croissance dans tous les animaux de la ferme soignés avec de puissants antibiotiques, les pesticides interdits sont introduits, introduction d’OGM dans tous les aliments. Donc tout un programme pour empoisonner une partie des humains, afin qu’ils deviennent les clients des industries chimiques et pharmaceutiques ou qu’ils meurent, résolvant ainsi le problème des bouches inutiles ! D Détruire la culture des peuples Après avoir détruit les économies des pays de la planète, ils se sont attaqués aux racines des peuples. 1 suppression des cultures régionales Les cultures paysannes ont été dénigrées du doigt et frappées d’arriérisme. a les dialectes Les mondialistes ont commencé par interdire les langues régionales et malgré leur réintroduction, force est de constater leur marginalisation voire leur disparition. b le folklore Ils ont ridiculisé le folklore des régions en les taxant de vieillottes. c l’histoire régionale Ils ont gommé l’histoire des régions et on la remplacé par un histoire européenne. d la destruction du passé Ils ont commencé à détruire tout ce qui rappelait le passé des villages. Ils ont détruit les campagnes en détruisant le bocage normand et breton par exemple. Ils ont commencé par détruire les bâtiments anciens des villes et maintenant les églises a. Ils ont externalisé les commerces et les activités dans des espaces commençant par un Z, comme les ZAC sur le modèle américain, déshumanisant les villes. e L’uniformisation des us et coutumes, disparition des traditions La masse médias ont détournés les populations de leurs coutumes et progressivement elles les ont abandonnées, au profit de la télévision, qui abrutit et endorment les peuples et les détournent de la vérité etc. 2 imposition de la culture américaine Un nouveau modèle culturel s’est peu à peu imposé : le modèle américain. a imposition de la nourriture américaine i fast-food La cuisine de nos terroirs, pourtant une des meilleures au monde, a été remplacée insidieusement par une nourriture industrielle pleine de produits chimiques et d’OGM. Nos boissons traditionnelles: vins, alcools sont concurrencées par les sodas pleins de produits chimiques et de sucre, mauvais pour la santé. ii drive-in Pour faciliter la pratique de cette nouvelle cuisine, l’accès au fast-food et aux super-marchés a été facilité par un accès plus rapide : les drives in. iii grandes surfaces Les petits producteurs locaux, qui alimentaient les magasins de proximité, avec eux disparaissent. Aussi, le revenu des petits producteurs sont laminés par les grandes surfaces, qui leur demandent des contreparties exagérées et une course à des prix encore plus bas, concurrence oblige. Aussi, Les grandes surface ont provoqué la disparition des variétés au profit de produits calibrés et des recettes régionales au profit d’une cuisine standardisée. b imposition de la culture américaine i le cinéma et la télévision Le cinéma français a été laminé par l’invasion, après la guerre de 29-45, du cinéma américain, exigence des Américains pour apporter son aide (plan Marchal). Aujourd’hui il détenu en majeur partie par des juifs : films de guerre, séries américaines dites soap qui réveillent les pulsions animales de l’homme (violence, viol, meurtre etc.), de catastrophe, au détriment des comédies, tragédies, films d’aventure, films fantastiques etc. La télévision a fortement réduit la lecture qui est pourtant un des instruments important de l’apprentissage de la culture et qui permet de développer son sens critique, indispensable pour ne pas devenir des esclaves. ii jeux vidéo Les jeux vidéos de combats ont remplacés les jeux de cartes et de sociétés développant un agressivité mortifère du vivre ensemble. iii Halloween La Toussaint a été remplacée par cette fête venue des US détruisant le sacré de la fête des morts. c de l’anglais Les langues régionales comme le Français sont remplacé par une novlangue : le petit anglais en l’imposant à l’école et à l’université. Déjà toute publication "sérieuse" doit être écrite en anglais ! d une éducation au rabais L’enseignement à l’école s’est appauvrie et des matières ont été carrément supprimées ou réduites (celles qui développent l’esprit critique !), ainsi que toutes les activités culturelles : le dessin; la peinture, la musique etc. 3 la colonisation Après avoir détruit ou dénaturé les bases de nos sociétés, un travail de sape portant atteinte à la cohésion de nos sociétés, a été entrepris. Pour les pays d’Europe, une vassalisation aux USA a été entreprise. a la mixité sociale Une forte immigration a pour but de diluer les peuples de souches dans un melting-pot et de transformer les pays européens en nouveaux Balkans. L’organisation juive Aliya favorise cette immigration en Europe, alors qu’Israël la rejette pour elle et refuse le retour des palestiniens chassés de leur territoire ! b le multiculturalisme La culture des immigrés est privilégiée au détriment de la culture des pays visés. c le communautarisme L’éclatement des société est achevé par la valorisation des communautés au détriment de la population autochtone. d l’Europe L’Europe a été créée pour mieux asservir les peuples sous la domination des mondialiste atlantistes et zionistes, et faire disparaître les nations sous de faux prétextes : l’Europe c’est la paix, c’est l’emploi, la croissance etc. En fait les puissances atlantistes zionistes ont provoqué sa création pour mettre mieux la main sur ses nations. 4 La perversion physique et moral des peuples Pour terminer leur travail de sape des nations, les mondialistes pervertissent leur peuples en commençant par leurs enfants. a des mœurs La pornographie, qui fait maintenant partie de la culture américaine, est une arme redoutable qui pervertit et rabaisse l’Homme et introduit des pratiques qui n’ont plus rien à voir avec les sentiments et l’amour. C’est une façon d’avilir les Chrétiens par une morale subversive. L’industrie pornographique est détenue principalement par des juifs aux USA : Reuben Sturman, Steve Hirsch, Bill Asher, Carter Stevens (Mal Warub), Seymore Butts (Adam Glasser), Randy West Andy Abrams, Nina Hartley (Nina Hartman), Annie Sprinkle (Ellen Steinberg), Ona Simms (Mme. Zimmerman), Ron Jeremy Hyatt,James Deen (Bryan Rothstein), Tori Black (Michelle Chapman), Seth Warshavsky, Georges Baruck…etc En France : Jack Lanzman qui a créé la revue Lui et Playboy, Marc Dorcel de son vrai nom Marcel Herskovits, producteur de films pornographiques etc. A cause de l’apologie de l’argent maître, la corruption à tendance a se généraliser à tous les échelons des société, même chez ceux qui sont censés être des exemples pour la société. b des croyances Les religions sont aussi attaquées, rejetées, calomniées au profit d’un athéisme laïc. c de la santé La généralisation des drogues fait des ravages chez les jeunes surtout. Ils deviennent dépendants et incapables de se construire et de vivre en société. III Les responsables L’ensemble des suppôts de ce NWO font partie des soi-disant élites et se réunissent en secret lors des réunions du CFR, du club Bilderberg, de la Trilatérale, des dîners du Siècle. Il représente une partie des sociétés, ce sont les : A les banquiers Ils représentent à l’origine huit familles juives : Goldman Sachs, Rockefeller, Lehmans et Kuhn Loeb de New York, les Rothschild d’Allemagne, de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et les Israel Moses Seifs de Rome). La plus part se cachent maintenant derrière les entreprises : Bank of America, JP Morgan, Citigroup, Wells Fargo, Goldman Sachs et Morgan Stanley, mais si vous regardez bien leur dirigeants, ce sont des juifs pour la plus part. Exemple : Godlman Sachs est dirigée par Lloyd Blankfein, Gary Cohn, John Weinberg, Mikael Sherwood, David Viniar, Esta stecher, Alan Cohen, Stephen Friedman, James Johnson, Liod Juliber, James Schiro, Richard Friedman, Christopher Cole, David Heller, Edward Forst, Richard Ruzika, Yoel Zaoui, David Solomon, Edward Eisler, Gwen Libtag, John Rogers, Jeffrey Schroeder, Harvey Schwartz, Steven Stongin, Donald Layton, Suzanne Johnson). Ils se sont appropriés les banques centrales européennes (voir la liste ci-dessous) jusqu’à la BCE et sont derrière la FED (Ben Bernanke, Janet Yellen, Lee Bollinger, Kevin Warsh, Paul Volcker (ancien directeur de la réserve fédérale, Bilderberg, CFR, trilatérale), Alan Greenspan etc.) , la City, la BRI, la Banque mondiale (Robert Zoellick (ancien conseiller aux affaires internationales de la banque Goldman Sachs, secrétaire d’état sous Georges bush et 11ème président de la banque mondiale, Bilderberg, CFR, trilatérale) ). B les politiques Les politiques sont devenus complices de ces banques, et ceux qui ont refusé de collaborer, ont été tués : Abraham Lincoln et JF Kennedy, le secrétaire au trésor de Thomas Jefferson, Kadhafi, ou renversé comme Ben Ali. 1 De Nixon à Obama en passant par les Bush Le projet du NOM s’est accéléré avec l’adhésion des présidents des US à ce projet depuis Nixon, comme Reagan, Bush père et fils, le coût des campagnes électorales rendant de plus en plus dépendant les candidats des banques : la campagne d’Obama a coûté 1 milliard de dollars ! 2 De Monnet à Sarkozy en passant par Robert Schuman En France, le premier complice fut Jean Monnet agent de l’impérialisme atlantiste, puis Robert Schumann. Cette subordination s’est accélérée avec Pompidou et Giscard directeur de la banque Rothschild qui ont fait voter la loi du même nom en 1973, obligeant la France à emprunter aux banquiers américanos-zionistes Rothschild & Cie pour investir et payer sa dette publique. Le juif Sarkozy en est la caricature : "on ira ensemble vers ce Nom et personne ne pourra s’y opposer, on ira ensemble vers le NOM, j’appelle tous les états à se réunir pour fonder le NOM". Aujourd’hui encore, les futurs complices de l’oligarchie mondialiste de "gauche" comme de "droite" sont formés au sein de la French American Fondation : les députés et anciens Ministres Laurent Wauquiez et Nathalie Kosciusko-Morizet, (1989, député UMP), Yves Censi (2003, député UMP), Jérôme Chartier (2003, député UMP), Alain Juppé (1981, député UMP), le juif Éric Raoult (1994, député UMP), Valérie Pécresse (2002, député UMP),le juif Jacques Toubon (1983, député UMP), Bruno Leroux (1997, député PS) les nouveaux députés, président et ministres : François Hollande et le juif Pierre Moscovici depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006. François Bayrou, le juif Bernard Kouchner, le juif Jean-François Copé (porte-parole du gouvernement Chirac en 2007), Michel Barnier (conseiller politique de Nicolas Sarkozy en 2007). Le juif Sarkozy est un membre à part et ses relations familiales avec la CIA sont maintenant bien connues. Son bilan désastreux prouve qu’il n’a eu de cesse de détruire la France et sa politique étrangère était guidée par les protagonistes qui veulent nous imposer ce NOM. 3 les commissaires européens Hermann von Rompuy (actuel président du Conseil européen, désigné par la Trilatérale) Jose Manuel Barroso (actuel président de la Commission européenne, ancien premier ministre portugais, membre de la Trilatérale). Frits Bolkestein (auteur de la "directive Bolkestein") Romano Prodi (ancien président de la Commission Européenne, premier ministre italien) Jacques Santer (ancien président de la Commission Européenne, ancien premier ministre du Luxembourg) Leon Brittan (vice-président de la Commission, ardent promoteur des traités AMI et NTM, ancien négociateur européen pour le GATT) Pascal Lamy (fervent partisan de l’AMI, et responsable de la modification de l’article 133 du Traité d’Amsterdam, afin que les états donnent définitivement les pleins pouvoirs à la Commission pour la négociation et la signature des traités économiques de type GMT, président actuel de l’OMC !) Edith Cresson (ancien membre de la Commission, ancien premier ministre français, ancien ministre du commerce, ancien membre de la direction de Schneider) Emma Bonino, Mario Monti (président actuel de la BCE, membre de la Trilatérale, ancien directeur de Goldman Sachs), Hans Van Den Broeck, Karel van Miert, Erkki Liikanen (ministre des finances de Finlande, membre de la Trilatérale), Ritt Bjerregaard. C les chefs d’entreprise Les dirigeants d’entreprises sont : Henri de Castries (AXA), Anne Lauvergeon (Libération) et le juif Stéphane Israël (Arianespace), ainsi que Cédric Villani, Médaillé Fields, Philippe Auberger, Anne Lauvergeon (1996, présidente d’Areva), le juif Laurent Cohen-Tanugi (1996, Sanofi-Synthélabo et membre du conseil d’administration du think tank « Notre Europe » créé par l’ancien président de la Commission Jacques Delors, Olivier Nora (1995, président des Éditions Grasset), le juif Denis Olivennes (1996, président de la FNAC), Nicolas Beytout (Directeur de la rédaction du Figaro). D les journalistes Le juif Emmanuel Chain (1999, journaliste), le juif Jérôme Clément (1982, Président d’Arte), Annick Cojean (2000, journaliste au Monde), Jean-Marie Colombani (1983, Directeur de la publication du Monde), Matthieu Croissandeau (2002, rédacteur en chef adjoint du Nouvel Observateur), Jean-Louis Gergorin (1994), Bernard Guetta (1981, journaliste à France Inter),le juif Erik Izraelewicz (1994, rédacteur en chef des Échos), Laurent Joffrin (1994, PDG de Libération), Jean-Noël Jeanneney (1983, président de la Bibliothèque nationale de France), Sylvie Kaufmann (1998, journaliste au Monde), Yves de Kerdrel (2005, journaliste aux Échos), Marwan Lahoud (1999), la juive Christine Ockrent (1983). E les intellectuels et scientifiques 1 Les chimistes : a Fritz Haber L’invention du zyklon a été inventé par Fritz Haber, un chimiste juif. Cette invention a permis l’extermination industrielle de ses coreligionnaires dans les camps de concentration ! b L’entreprise de Monsanto Cette entreprise américaine est tristement célèbre pour avoir inventé l’agent orange qui a tué des milliers de Vietnamiens pendant la guerre du Vietnam. Depuis, elle a inventé tous les pesticides (PCB comme la dioxine, le glyphosate, chlordécone) et herbicides (Roundup, agent orange) qui provoquent des cancers et autre maladies qui déciment des milliers, voir des millions d’hommes sur toute la planète car ils contaminent le lait maternel, les rivières, les poissons, les fruits de mer, la faune et la flore. Le chlorédécone utilisé aux Antilles a détruit l’agriculture et la pêche antillaise pour des décennies en empoissonnant le sol et les eau ! De plus, elle a inventé les OGM (maïs, coton) qui rendent les pays dépendants de ses produits comme en Inde et Haïti, qui provoquent des tumeurs cancéreuses selon une étude récente. Elle a aussi inventé l’aspartame dont les effets se révèlent maintenant nocifs pour les consommateurs. Elle aussi inventé l’hormone de croissance artificielle pour augmenter la production laitière, mais qui provoque des effets pervers obligeant les fermiers à injecter des antibiotiques chez les vaches, afin de rendre leur lait buvable ! Enfin, elle voudrait pouvoir breveter le vivant pour mieux mettre en esclavage la planète. 2 le philosophe Marx, ce philosophe économiste juif allemand a détruit le consensus entre patrons et employés en pervertissant leur relation, en promouvant la lutte des classes. 3 L’économiste : Chantre du néolibéralisme : suppression du rôle de l’État, déréglementation de l’économie, politique monétariste ne créant que crise et récession, Milton Friedman, cet économiste juif américain a inspiré le traitement de choc que font subir les USA aux pays qu’ils ont décidé de détruire pour s’approprier leurs ressources naturelles. 4 les idéologues : a John Holdren Ce professeur juif américain membre du cabinet d’Obama veut génocider 5 milliards d’individus : les bouches inutiles qui consomment les ressources non renouvelables de la planète ! b Jacques Attali Chantre du NOM, cet essayiste juif français explique à qui veut l’entendre les bienfaits de ce nouvel ordre mondial et espère que Jérusalem deviendra sa capitale ! 5 Le médecin Sigmund Schlomo Freud, médecin juif tchèque, a perverti l’amour maternel des garçons en introduisant une part de désir sexuel essayant de détruire la famille et avilir l’humanité qui avait sublimé la sexualité. En tuant l’image du père, il a permis la féminisation des sociétés. Enfin, Freud n’aimait pas les Chrétiens et croyait à la supériorités des Juifs ! 6 Le biologiste Jonas Salk, biologiste juif américain, a fait passer le sida du singe à l’homme en le cultivant sur des souches de reins de singes porteurs sains de ce virus qui tue des millions de personnes dans le monde ! IV les buts du NOM Le projet de NOM est d’instaurer une dictature planétaire avec ses maîtres (les zionistes) et leurs esclaves (les non juifs) à leur service : A Une nation unique Une nation unique serait un moyen de supprimer les conflits entre les nations, mais surtout de contrôler mieux tous les de la terre (ce qui en resterait). B Un peuple unique Et de faire les réduire en un peuple unique, dont la fonction serait d’entretenir les maîtres du monde. C Un gouvernement unique Dirigé par un seul gouvernement composé des maîtres du monde : les juifs. D Un monde sans monnaie Le remplacement de l’argent liquide par le paiement électronique facilite déjà le contrôle des échanges et donc de leur impositions et taxations et demain le contrôle de la population par le biais d’une puce électronique. E Une capitale unique Après la destruction de toutes les nations, il ne resterait qu’un seul pays : Israël avec comme capitale : Jérusalem. V Les racines du NOM A le Talmud Les racines de cet projet diabolique viennent d’abord du Talmud : les juifs peuple élu, et donc supérieurs, sont nés pour diriger le monde. Les non juifs, des bêtes, ne sont sur terre que pour les servir et leur argent est à leur disposition. Le taux de naissance des non-juifs doit être diminué. L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu. Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres. Vous trouverez ci-dessous, comme source, les versets sataniques du Talmud ! B le satanisme Pour arriver à leurs fins, les mondialistes adorent Satan et lui rend un culte lors de cérémonies sataniques où sont violés et tués des enfants ! D’ailleurs David Spangler, directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies disait : « Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera parti du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne. » C La Kabbale L’utilisation de la numérologie est aussi utilisée par les mondialistes pour arriver à leurs fins, par exemple le débarquement sur les plages de Normandie qui a été une boucherie qui aurait pu être évitée, a été déclenché le 666, chiffre de la bête (l’antéchrist) et de l’apocalypse. La magie des signes est aussi utilisée : sur le dollar est représenté l’œil de Satan qui domine une pyramide : l’œil est celui du maître du monde et la pyramide et ses degrés – toute les couches de la société avec à la base le peuple. Treize étoiles représentent l’étoile de David des juifs avec ses 6 branches qui domineront le monde quand le projet, avec l’aide des USA, sera réalisé. Le chiffre 13 qui représente le nombre de degré et le chiffre de la renaissance après la mort comme le phœnix représenté et non l’aigle. Ce chiffre est répété pour les olives, les flèches en faisceau, les rayures du blason. Sous la pyramide dans la banderole est inscrit : nouvel ordre mondial en latin. La superposition de deux dollars révèlent la tête de la bête. Vous aurez compris que la mondialisation n’est que l’imposition consentie ou forcée du Nouvel Ordre Mondial américano-zioniste. Mais ceux qui veulent vous l’imposer ne représentent même pas un pour-cent de la population mondiale : banquiers et leurs complices (juifs intégristes, politiques, journalistes, chefs d’entreprise etc.) . Alors pour ceux qui voudraient me faire un procès d’intention, ils se trompent. Ce n’est pas parce qu’on critique une minorité professionnelle, ethnique, religieuse etc. qu’on est anti, phobe, ite etc. Liste des banques appartenant aux Rothschild !!! : Afghanistan: Bank of Afghanistan Albania: Bank of Albania Algeria: Bank of Algeria Argentina: Central Bank of Argentina Armenia: Central Bank of Armenia Aruba: Central Bank of Aruba Australia: Reserve Bank of Australia Austria: Austrian National Bank Azerbaijan: Central Bank of Azerbaijan Republic Bahamas: Central Bank of The Bahamas Bahrain: Central Bank of Bahrain Bangladesh: Bangladesh Bank Barbados: Central Bank of Barbados Belarus: National Bank of the Republic of Belarus Belgium: National Bank of Belgium Belize: Central Bank of Belize Benin: Central Bank of West African States (BCEAO) Bermuda: Bermuda Monetary Authority Bhutan: Royal Monetary Authority of Bhutan Bolivia: Central Bank of Bolivia Bosnia: Central Bank of Bosnia and Herzegovina Botswana: Bank of Botswana Brazil: Central Bank of Brazil Bulgaria: Bulgarian National Bank Burkina Faso: Central Bank of West African States (BCEAO) Burundi: Bank of the Republic of Burundi Cambodia: National Bank of Cambodia Came Roon: Bank of Central African States Canada: Bank of Canada – Banque du Canada ***** Cayman Islands: Cayman Islands Monetary Authority Central African Republic: Bank of Central African States Chad: Bank of Central African States Chile: Central Bank of Chile China: The People’s Bank of China Colombia: Bank of the Republic Comoros: Central Bank of Comoros Congo: Bank of Central African States Costa Rica: Central Bank of Costa Rica Côte d’Ivoire: Central Bank of West African States (BCEAO) Croatia: Croatian National Bank Cuba: Central Bank of Cuba Cyprus: Central Bank of Cyprus Czech Republic: Czech National Bank Denmark: National Bank of Denmark Dominican Republic: Central Bank of the Dominican Republic East Caribbean area: Eastern Caribbean Central Bank Ecuador: Central Bank of Ecuador Egypt: Central Bank of Egypt ********** El Salvador: Central Reserve Bank of El Salvador Equatorial Guinea: Bank of Central African States Estonia: Bank of Estonia Ethiopia: National Bank of Ethiopia European Union: European Central Bank Fiji: Reserve Bank of Fiji Finland: Bank of Finland France: Bank of France Gabon: Bank of Central African States The Gambia: Central Bank of The Gambia Georgia: National Bank of Georgia Germany: Deutsche Bundesbank Ghana: Bank of Ghana Greece: Bank of Greece Guatemala: Bank of Guatemala Guinea Bissau: Central Bank of West African States (BCEAO) Guyana: Bank of Guyana Haiti: Central Bank of Haiti ***** Honduras: Central Bank of Honduras Hong Kong: Hong Kong Monetary Authority Hungary: Magyar Nemzeti Bank Iceland: Central Bank of Iceland India: Reserve Bank of India Indonesia: Bank Indonesia Iran: The Central Bank of the Islamic Republic of Iran Iraq: Central Bank of Iraq Ireland: Central Bank and Financial Services Authority of Ireland Israel: Bank of Israel Italy: Bank of Italy Jamaica: Bank of Jamaica Japan: Bank of Japan Jordan: Central Bank of Jordan Kazakhstan: National Bank of Kazakhstan Kenya: Central Bank of Kenya Korea: Bank of Korea Kuwait: Central Bank of Kuwait Kyrgyzstan: National Bank of the Kyrgyz Republic Latvia: Bank of Latvia Lebanon: Central Bank of Lebanon Lesotho: Central Bank of Lesotho Libya: Central Bank of Libya Uruguay: Central Bank of Uruguay Lithuania: Bank of Lithuania Luxembourg: Central Bank of Luxembourg Macao: Monetary Authority of Macao Macedonia: National Bank of the Republic of Macedonia Madagascar: Central Bank of Madagascar Malawi: Reserve Bank of Malawi Malaysia: Central Bank of Malaysia Mali: Central Bank of West African States (BCEAO) Malta: Central Bank of Malta Mauritius: Bank of Mauritius Mexico: Bank of Mexico Moldova: National Bank of Moldova Mongolia: Bank of Mongolia Montenegro: Central Bank of Montenegro Morocco: Bank of Morocco Mozambique: Bank of Mozambique Namibia: Bank of Namibia Nepal: Central Bank of Nepal Netherlands: Netherlands Bank Netherlands Antilles: Bank of the Netherlands Antilles New Zealand: Reserve Bank of New Zealand Nicaragua: Central Bank of Nicaragua Niger: Central Bank of West African States (BCEAO) Nigeria: Central Bank of Nigeria Norway: Central Bank of Norway Oman: Central Bank of Oman Pakistan: State Bank of Pakistan Papua New Guinea: Bank of Papua New Guinea Paraguay: Central Bank of Paraguay Peru: Central Reserve Bank of Peru Philip Pines: Bangko Sentral ng Pilipinas Poland: National Bank of Poland Portugal: Bank of Portugal Qatar: Qatar Central Bank Romania: National Bank of Romania Russia: Central Bank of Russia Rwanda: National Bank of Rwanda San Marino: Central Bank of the Republic of San Marino Samoa: Central Bank of Samoa Saudi Arabia: Saudi Arabian Monetary Agency Senegal: Central Bank of West African States (BCEAO) Serbia: National Bank of Serbia Seychelles: Central Bank of Seychelles Sierra Leone: Bank of Sierra Leone Singapore: Monetary Authority of Singapore Slovakia: National Bank of Slovakia Slovenia: Bank of Slovenia Solomon Islands: Central Bank of Solomon Islands South Africa: South African Reserve Bank Spain: Bank of Spain Sri Lanka: Central Bank of Sri Lanka Sudan: Bank of Sudan Surinam: Central Bank of Suriname Swaziland: The Central Bank of Swaziland Sweden: Sveriges Riksbank Switzerland: Swiss National Bank Tajikistan: National Bank of Tajikistan Tanzania: Bank of Tanzania Thailand: Bank of Thailand Togo: Central Bank of West African States (BCEAO) Tonga: National Reserve Bank of Tonga Trinidad and Tobago: Central Bank of Trinidad and Tobago Tunisia: Central Bank of Tunisia Turkey: Central Bank of the Republic of Turkey Uganda: Bank of Uganda Ukraine: National Bank of Ukraine United Arab Emirates: Central Bank of United Arab Emirates United Kingdom: Bank of England United States: Federal Reserve, Federal Reserve Bank of New York Vanuatu: Reserve Bank of Vanuatu Venezuela: Central Bank of Venezuela Vietnam: The State Bank of Vietnam Yemen: Central Bank of Yemen Zambia: Bank of Zambia Zimbabwe: Reserve Bank of Zimbabwe Bank For International Settlements (BRI) Les versets sataniques du Talmud : Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif. Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs. Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie. Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs. Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux. Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les Non-juifs à des bêtes impures ». Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison. Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Même qu’un non-juif à la même apparence qu’un juif, ils se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme. Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme ci vous mangiez avec un chien. Talmud, Yebamoth 98a. Tous les enfants des goyims sont des animaux Talmud, Zohar II 64b : Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes. Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins. Les juifs peuvent voler les non-juifs: Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame. Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif. Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un Non-juif. Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement. Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats. Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un Non-juif. Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire. Talmud – Babha Kama 113a: les incroyants ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël. Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge. Les juifs peuvent tuer les non-juifs: Talmud, Abhodah Zarah 4b: vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains. Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle. Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu. Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort. Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort. Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu. Talmud, Iore Dea 158, 1 : En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas des ennemis, un juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle. « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ». Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal. Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l’aide médical des idolâtres sous entendu des Non-juifs. Talmud, Pesachim 49b : Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat. Rabbin Eliezer : " Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de l’expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat ". Ses disciples répondirent : " Rabbi ! Vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’ un Goï. " Mais il répliqua : " En aucune façon ! Car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à dieu de l’agréer, alors qu’il n’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un. " Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder. Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper dieu. Talmud, Sanhedrin 59a : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort. Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un péché. Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres. Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres. Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement. Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif. Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu. Les non-juifs sont impurs : Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï. Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance. Talmud – Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs. Talmud, Schabbath 145b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure. Talmud, Zohar I, 46b, 47a : L’âme des goyims est d’une origine théologique impure. Talmud, Zohar I, 131a : Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. Le juif est un être supérieur Talmud, Hilkhoth Non-juif X, 1 : Ne passez aucun accord avec un Non-juif, et ne jamais manifester de pitié envers un Non-juif. Il ne faut pas avoir pitié des non-juifs car il est dit: "tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié" Deutéronome 7:16 Tu dévoreras tous les peuples que l’Éternel, ton dieu, va te livrer, tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié. Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre. Talmud, Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal Non-juif, par un juge Non-juif, ou par des lois non-juives. Talmud, Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas. Talmud, Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire. Talmud, Sanhédrin 52b: L’adultère n’est pas défendu. avec la femme d’un Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec "la femme de ton prochain", et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains. Talmud, Choschen Ham 34, 19: Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès. Talmud, Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de peur qu’il ne la croit. Talmud, Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang. Talmud, Abhodah Zarah 25b: Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l’étranger. Talmud, Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir. Talmud, Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés. Talmud, Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif. Talmud, Choschen Ham 156, 5: Les clients non-juifs possédés par un juifs, ne doivent pas être démarchés par un autre juif. Talmud, Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit. Talmud, Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des Non-juifs. Talmud, Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les Non-juifs et les juifs. Talmud, Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l’amitié. Talmud, Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants à l’hérésie. Talmud, Iore Dea 154, 2: Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif. Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance. Talmud, Moed Kattan 17a: si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et la il peut s’adonner au mal. Talmud, Orach Chaiim 20, 2 : Les Non-juifs se déguisent pour tuer les juifs. Talmud, Rosch Haschanach 17a : L’âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations. Talmud, Sanhedrin 57a: un juif n’est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif. Talmud, Sanhedrin 90a: ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens) n’auront pas de place dans le monde à venir Talmud, Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament) Talmud, Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts. Talmud, Zohar I, 28b: Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse. Talmud, Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs. Talmud, Zohar I, 219b: Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir. Talmud, Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts.

PAYS PAUVRES PAUVRES DE NOUS

Pays pauvres : vers une nouvelle crise de la dette Qui paye la crise du capitalisme ? Sur le plan international, ce sont les pays les plus démunis. Bien qu’il représente une ponction très importante sur les recettes des pouvoirs publics , le remboursement de la dette publique, entre 2004 et 2008, n’a pas constitué un grand problème pour la plupart des pays à moyens revenus et pour les pays exportateurs de matières premières en général. En effet, la plupart des gouvernements de ces pays trouvaient facilement des prêts à des taux historiquement bas leur permettant de trouver les fonds nécessaires. Néanmoins, la crise de la dette privée qui a éclaté dans les pays les plus industrialisés en 2007 a modifié radicalement les conditions d’endettement des pays en développement (PED), qui se dirigent vers une nouvelle crise de la dette. Au cours des deux siècles précédents de l’histoire du capitalisme, plusieurs crises internationales de la dette ont éclaté (on en compte trois au 19e siècle et deux au 20e siècle ). Elles ont affecté directement le destin des pays émergents . Les origines des crises et les moments où elles éclatent sont intimement liés au rythme de l’économie mondiale, et principalement de celle des pays les plus industrialisés. Chaque crise de la dette a été précédée d’une phase de surchauffe de l’économie des pays du Centre au cours de laquelle il y a eu surabondance de capitaux dont une partie a été recyclée vers les économies de la Périphérie. La crise est généralement provoquée par une récession ou un krach frappant certaines des principales économies industrialisées. La crise qui a éclaté à partir de 2007-2008 dans la Triade confirme cette « règle ». Entre 2004 et 2008, une grande partie des PED ont vu leurs recettes d’exportation fortement augmenter en raison de la hausse des prix des marchandises qu’ils vendent sur le marché mondial : hydrocarbures (pétrole et gaz), minéraux et produits agricoles. Cela leur a permis à la fois de puiser dans ces recettes en devises pour rembourser la dette et d’avoir la crédibilité suffisante pour contracter de nouveaux prêts. De plus, les banques commerciales du Nord, qui avaient fortement réduit leurs prêts à partir de la fin des années 1990 suite aux crises financières dans les PED, ont progressivement rouvert toutes grandes les vannes des prêts de 2004 à 2008 . D’autres groupes financiers privés (fonds de pensions, sociétés d’assurance, hedge funds) ont fourni du crédit aux PED en achetant les bons qu’ils émettaient sur les principales places financières. Des Etats ont également augmenté l’offre de crédits aux PED, de la Chine qui prête tous azimuts au Venezuela qui finance l’Argentine et des pays de la Caraïbe. En général, les taux demandés étaient nettement plus avantageux que ceux qui ont prévalu jusqu’au début des années 2000. Il faut ajouter à cela l’abondant crédit octroyé à l’intérieur des PED par les banques locales ou étrangères qui opèrent au Sud. Un changement est intervenu avec la crise de la dette privée dans les pays les plus industrialisés en 2007 . Le déclencheur en a été l’éclatement de la bulle spéculative dans le marché de l’immobilier aux Etats-Unis qui a entraîné l’effondrement de plusieurs marchés de la dette privée (marché des subprimes, des ABCP , des CDO , des LBO , des CDS , des ARS …). Cette crise est loin d’être terminée et le monde est seulement en train de découvrir ses multiples répercussions. Alors que l’argent du crédit coulait à flot jusqu’en juillet 2007, les différentes sources privées se sont taries subitement au Nord. Les banques privées complètement engluées dans des montages chancelants de dettes ont commencé à se méfier les unes des autres et ont rechigné à se prêter de l’argent. Il a fallu que les pouvoirs publics des Etats-Unis, d’Europe occidentale et du Japon injectent massivement et à plusieurs reprises des liquidités (plus de 2 000 milliards de dollars et d’euros en 2007-2009) pour éviter la paralysie du système financier au Nord. Pendant ce temps, les banques privées qui se finançaient en vendant des titres non garantis n’ont plus trouvé acquéreur sur les marchés financiers du Nord. Elles ont dû commencer à assainir leurs comptes en amortissant les énormes pertes dues à leurs opérations aventureuses des dernières années. Pour s’en sortir, elles ont dû faire appel à des apports d’argent frais. Cet argent a été fourni au début par les fonds souverains des pays asiatiques et par ceux du Golfe persique. Ensuite, les Etats du Nord sont venus massivement à la rescousse. Les banques qui n’ont pas trouvé à temps de l’argent frais ont été rachetées par d’autres (Bear Stearns et WAMU ont été rachetées par JPMorgan) ou par l’Etat (en Grande Bretagne, Northern Rock Bank, Royal Bank of Scotland et l’établissement de crédit hypothécaire Bradford & Bingley ; le gouvernement des Pays-Bas a acheté ABN Amro ; le gouvernement belge a acheté de manière temporaire Fortis Bank pour la revendre ensuite à BNP Paribas ; le gouvernement de Washington a « nationalisé » Freddie Mac et Fannie Mae ainsi que AIG , etc.). La nationalisation de Freddie Mac et de Fannie Mae est un exemple parfait de la privatisation des bénéfices en temps de prospérité économique et de socialisation des pertes en temps de dépression. Ces deux institutions ont été privatisées au moment où elles produisaient de gros bénéfices. Avec la crise dans l’immobilier qui a éclaté en 2007, la situation de Freddie Mac et de Fannie Mae s’est dramatiquement dégradée. Alors qu’elles avaient distribué des dividendes à leurs actionnaires privés en 2007, les deux institutions subitement aux abois ont appelé l’Etat à la rescousse afin qu’il prenne en charge leurs pertes. Leur portefeuille de crédits hypothécaires s’élève à 5 300 milliards de dollars (c’est-à-dire l’équivalent de quatre fois la dette publique externe de l’ensemble des PED). L’éditorial du très néolibéral The Economist du 30 août 2008 déclara lui-même : « C’est le pire aspect du capitalisme : il signifie que les actionnaires et les dirigeants jouissent des profits tandis que les contribuables paient l’ardoise quand il y a des pertes ». Dans un premier temps, la plupart des PED n’a pas souffert. En 2007, les Bourses de valeurs d’une série de PED ont vu affluer de l’argent spéculatif qui fuyait l’épicentre du séisme financier, c’est-à-dire l’Amérique du Nord. Les capitaux libérés par l’explosion de la bulle immobilière qui a traversé l’Atlantique d’Ouest en Est (l’Irlande, la Grande-Bretagne, l’Espagne ont été particulièrement touchées et la liste s’est allongée au fil du temps) se sont jetés sur d’autres marchés : les Bourses de matières premières et de produits alimentaires qui sont situées au Nord (renforçant par là même l’augmentation des prix) et certaines Bourses de valeurs du Sud. Mais cela n’a pas duré longtemps : en 2008, toutes les Bourses de valeurs du Sud étaient les grandes perdantes. Certaines d’entre elles sont reparties à la hausse en 2009 (Chine, Taïwan, Brésil, Russie…), mais pour combien de temps ? Par ailleurs, la décision de la Réserve fédérale des Etats-Unis de baisser à plusieurs reprises son taux d’intérêt directeur a aussi allégé provisoirement le fardeau de la dette du Sud. Mais la situation changea radicalement mi-2008 quand les primes de risque-pays augmentèrent fortement et quand les banques du Nord restreignirent l’offre de nouveaux crédits destinés à refinancer le paiement de la dette. De la même manière, les investisseurs institutionnels (fonds de pension, assurances, banques…) réduisirent l’achat de titres de la dette du Sud pour acheter en priorité les bons du Trésor des Etats-Unis. Les prix des matières premières, qui s’étaient maintenus à la hausse jusqu’en juillet 2008, entamèrent une chute brutale. De plus, en 2008-2009, les monnaies des pays latino-américains se dévaluèrent face au dollar. Cela augmenta à nouveau le coût de la dette externe qui se paie majoritairement en dollars. La Banque des Règlements Internationaux (BRI) confirme : « La crise économique et financière a frappé de plein fouet les économies émergentes (ÉcÉm) au dernier trimestre 2008. La faillite de Lehman Brothers, en septembre 2008, a été suivie par un recul sans précédent de la demande d’exportations, qui a coïncidé avec un important reflux des prêts bancaires internationaux et de l’investissement de portefeuille étranger. Le cours de change de nombreux pays s’est déprécié, la valorisation des actions a baissé et le coût du financement extérieur a fortement progressé. Avec l’atonie de la consommation et des dépenses d’investissement dans les économies avancées, la demande d’exportations des ÉcÉm s’est effondrée, ce qui a accentué l’inversion des flux de capitaux et mis fin à une longue période de croissance tirée par les exportations et soutenue par les entrées de fonds . » Baisse des réserves en devises des PED en 2008-2009 Toujours selon la BRI, les réserves en devises des PED se sont mises à baisser : « Le stock d’avoirs de change, après avoir culminé en 2008, a fortement diminué dans plusieurs ÉcÉm, s’établissant à plus de 4 300 milliards [de dollars] pour l’ensemble du groupe en janvier 2009. […] Ainsi, au premier trimestre 2009, le niveau des réserves de change était tombé à 80% de celui de juin 2008 en Corée et en Inde, à environ 75% en Pologne et à 65% en Russie. En cas de persistance des chocs extérieurs, ces ponctions soulèvent des interrogations, même si les stocks demeurent abondants, d’après les indicateurs classiques . » Le ralentissement de la croissance économique, clairement perceptible en Amérique du Nord, en Europe et au Japon, a entraîné une réduction des exportations de produits manufacturés, principalement par la Chine, le Mexique et d’autres pays asiatiques. La demande interne chinoise ne sera pas en mesure de pallier à la réduction de la demande externe. Le reflux de l’activité économique dans les pays industrialisés, en Chine et dans d’autres pays asiatiques gros consommateurs de matières premières (Malaisie, Thaïlande, Corée du Sud…), ainsi que la réduction des capitaux financiers disponibles pour spéculer à la hausse sur les marchés du futur, ont entraîné une réduction des prix des hydrocarbures et de quasiment toutes les autres matières premières (y compris les produits agricoles) : « La baisse des dépenses en biens de consommation durable dans les pays avancés pendant le second semestre 2008 a lourdement pesé sur les exportations dans les secteurs de l’automobile et des technologies de l’information (TI). Pour l’automobile, qui représente une part notable du PIB dans plusieurs ÉcÉm (3 % en Turquie, 6 % au Mexique, 8 % en Corée et en Thaïlande et plus de 10 % en Europe centrale), les exportations ont chuté, par exemple de 45 % au Mexique en février 2009 et de 54 % en Turquie au premier trimestre 2009. […] De plus, le ralentissement de la croissance mondiale a précipité un fléchissement des cours des produits de base. Entre juillet 2008 et mars 2009, les cours du pétrole ont cédé 65 %, et ceux des autres produits de base, 34 %. […] Or, les produits de base comptent pour plus de 40 % des exportations en Amérique latine (au-delà de 20 % au Mexique) . » Il faut y ajouter une forte réduction des transferts des migrants vers leur pays d’origine. Les travailleurs mexicains, équatoriens, boliviens qui travaillent dans le secteur de la construction aux Etats-Unis et en Espagne sont directement touchés par la crise de l’immobilier et perdent en masse leur emploi. Durcissement des conditions de prêt Pendant que les recettes des Etats baissent, les dépenses pour le remboursement de la dette augmentent. Les banques réduisent leur offre de crédits et exigent une augmentation des primes de risque. Les pertes que les banques doivent éponger se sont constamment élevées depuis 2007. Le nombre de défauts de paiements a augmenté dans le Nord. Le marché des Credit default swaps, ces produits dérivés non régulés qui étaient censés protéger les détenteurs de créances contre le risque de non paiement, est plongé dans l’incertitude tant les sommes en jeu sont énormes . Et nous sommes seulement au début de ce durcissement des conditions. En juin 2008, la BRI écrivait : « Même si les primes souveraines (c’est-à-dire les primes de risque que paient les pouvoirs publics aux prêteurs) demeurent bien inférieures aux niveaux observés durant les précédents épisodes de turbulences financières, elles sont beaucoup plus élevées qu’au premier semestre 2007, de sorte que les tensions sur les financements risquent de devenir contraignantes » . La BRI ajoutait un peu plus loin : « En ce qui concerne les entreprises, la hausse récente des primes de risque sur leurs obligations a souvent été plus forte que celle des primes souveraines, ce qui laisse penser que certains emprunteurs commencent à ressentir les effets d’un durcissement des conditions de crédit, après de nombreuses années d’endettement facile . » Puis : « Dans le contexte de turbulences qui frappe les banques des économies avancées, la seconde grande source de vulnérabilité pour certaines économies émergentes est le risque de tarissement des entrées de capitaux bancaires. Par le passé, ces flux se sont inversés brutalement à plusieurs reprises, comme au début des années 1980 pour l’Amérique latine et en 1997-1997, pour l’Asie émergente . » Dans la version suivante de son rapport, en 2009, la BRI affirme : « En Amérique latine, par exemple, au premier trimestre 2009, plusieurs grandes banques internationales n’ont reconduit que 50–60 % des lignes de crédit commercial octroyées en 2008. […] De plus, les rapatriements de bénéfices se sont fortement accrus dans certains cas, car, à l’instar des banques internationales, nombre de multinationales ont eu besoin de liquidité sur leur marché d’origine. D’après le Centre de développement de l’OCDE, les rapatriements de ressources financières vers les sociétés mères expliquent la chute du réinvestissement des bénéfices et des prêts intragroupes. Puisque la crise actuelle s’accompagne d’une contraction sans précédent de l’activité économique mondiale, il est extrêmement difficile de prévoir quand et dans quelle mesure les capitaux privés reviendront vers les ÉcÉm. » Conclusions En conséquence de la crise qui a éclaté dans les pays les plus industrialisés, les conditions de prêts se sont déjà considérablement durcies pour les PED. Les importantes réserves de change qu’ils avaient engrangées ces dernières années ont constitué un amortisseur des effets de ce durcissement, mais elles ne suffiront sans doute pas à les protéger totalement. Certains maillons faibles de la chaîne de l’endettement au Sud sont directement touchés par la chute des matières premières. C’est par exemple le cas de l’Equateur (chute du prix du pétrole) et de l’Argentine (chute du prix du soja exporté). La situation n’est absolument pas sous contrôle et il faut agir résolument pour que ce ne soit pas les peuples qui paient une fois de plus le prix fort .